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                      Le cheval 

 Ã€ l'état naturel, le cheval  vit en petits groupes. Il est une proie dans le règne animal. Le cheval dominant est celui qui assure la survie, permet la reproduction et le déplacement en toute sécurité de ses congénères. Grégaire, le cheval est un animal sociable qui apprécie la vie avec ses semblables. Le groupe permet d'assurer constamment une surveillance face aux prédateurs.

 

Il est doté d'un fort instinct de fuite. Ne voyant pas devant ou derrière lui, s’il est surpris par quelque chose qu’il n’a pas entendu, vu ou senti, il peut s’emballer, fuir ou attaquer. Il se sert également de son audition très développée pour repérer l’arrivée d’un danger ou d’un prédateur. Son odorat est très important aussi et favorise le lien social avec ses congénères. Les chevaux se saluent en se sentant le nez. S’ils s’apprécient, ils vont se toucher de façon plus globale: grooming ou toilettage mutuel. 

  

Ils atteignent leur plein développement entre cinq et sept ans en moyenne. Leur espérance de vie  est en moyenne de vingt-cinq à trente ans. Les chevaux domestiqués entretiennent eux aussi, de solides amitiés avec leurs compagnons de pré ou d'écurie.

 

Dans la plupart des pays développés, le cheval est désormais monté pour le loisir ou les compétitions sportives. Il est devenu peu à peu un partenaire en thérapie.

 

 

Pourquoi le cheval dans  le développement personnel?

 

Le cheval est suffisamment puissant physiquement pour nous obliger  à  le comprendre, si l’on veut vivre en sécurité avec lui. Un humain de 70kgs ne peut pas contraindre un animal de 500kgs, à moins d’utiliser la force grâce à des outils de pression comme la cravache, l’enrênement, etc..  Le fait d’utiliser la brutalité ou la domination dénote chez l’humain un comportement  inadapté.

 

D’autres rapports sont pourtant envisageables. Il est évident que le cheval permet de comprendre et de corriger ces comportements.  Ce que je propose,  c’est de découvrir un autre moyen de communication.

 

Capable de repérer nos émotions et nos intentions,  il peut devenir  un excellent collaborateur de développement personnel. Il permet à l’homme de prendre conscience de ses comportements inadaptés et des blessures refoulées inconsciemment (excès de force, de pouvoir, de faiblesse..).  

 

Le cheval invite l’homme à avoir une autre approche de la relation avec lui.  C’est dans le silence que l’homme entendra et s’entendra. Ceci est possible grâce à des exercices à faire au sol avec le cheval,  permettant ainsi à l’humain une connexion à son corps physique. Le corps a une mémoire et un langage que l’on peut apprendre à percevoir.

Communication intuitive 

Je peux communiquer de manière intuitive avec votre cheval,  afin de mieux comprendre son histoire, repérer et guérir ses blessures émotionnelles et  vous aider à mieux répondre à ses besoins.

 

La communication intuitive permet au cheval de  s’exprimer librement et de passer les messages qu’il a besoin de faire entendre.

 

Cela l’incite à sortir de l’isolement et à être compris, ce qui renforce la confiance avec son cavalier.

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Je peux communiquer avec les chats et les chiens ainsi qu'avec tous les mammifères disposant d'un cerveau limbique. 

Guérison des blessures émotionnelles et des traumatismes des chevaux et des animaux domestiques.

Pour les chevaux de propriétaire, de club, de loisir, de course ou de concours.

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5 blessures émotionnelles existent chez les chevaux comme chez l’homme : abandon, humiliation, injustice, rejet, trahison. Très souvent, l’être humain est responsable de ces blessures qui laissent des séquelles dans la psyché et le corps du cheval. Elles se manifestent de différentes manières : tics, impatience, caractère difficile, panique, stress, etc… Un cheval peut déprimer, tiquer, avoir une colique ou développer une maladie. La souffrance est ressentie comme chez  l’humain. Il est primordial de le soigner dans toutes ses dimensions.

 

Ma pratique est orientée sur le bien-être des chevaux et sur la nécessité de privilégier la coopération avec eux.

 

Cet animal est capable de reconnaître une personne qui a été maltraitante avec lui et de la garder en mémoire. Il peut aussi se souvenir d’un objet avec lequel il a eu une mauvaise expérience (cravache, van, box…). Ces traumatismes sont essentiellement dus à sa présence auprès de l'humain, qui le considère trop souvent comme un outil sans émotion, une propriété, et dans le pire des cas, un objet soumis à sa volonté. 

 

Le cheval se souvient d’un traumatisme passé. Les chevaux sont des mammifères et disposent du cerveau reptilien qui leur sert à assurer leur fonction vitale primitive et du cerveau limbique qui est le siège de la mémoire et des émotions. Le cerveau du cheval pèse environ 500g soit 0,1% de son poids. Toute sa pensée vient de son cerveau limbique, ce qui signifie qu’il vit dans l’instant, il ne se prépare à rien. Contrairement à l’être humain, dont le cerveau pèse 1,5kg (soit 2% de son poids) et qui raisonne via son cortex cérébral. Le cheval utilise son cerveau reptilien pour ses comportements de survie (attaque, fuite, défense, postures…) et son cerveau limbique, siège des émotions. C’est le cerveau limbique qui mémorise les sensations ressenties et permet donc l’apprentissage. Le cortex, chez l’humain, est le siège du raisonnement. Il permet de parler, agir, penser, décider, anticiper. La sociabilisation a poussé l’être humain à utiliser principalement la région cortex de son cerveau au détriment du cerveau limbique, pourtant toujours présent. Laisser le cerveau limbique reprendre sa place permettrait de se rapprocher du cheval en revenant à une communication intuitive : stop au raisonnement (proprement humain) et place au ressenti (animal). 

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Pour finir, il y a le néocortex ou cortex préfrontal. C’est ce qui est propre à notre intelligence. Chez nous, il se trouve juste derrière la plaque de notre front. Chez le cheval c’est une très petite partie, chez nous c’est la plus grande. Concernant le cheval, on ne sait pas encore grand-chose sur son utilité. Il semblerait qu’il soit lié à sa bouche et son bout du nez. C’est ce qui lui donnerait la capacité de séparer les types d’herbes, de savoir si l’aliment est comestible ou pas etc. Il est donc très différent du nôtre. Il est spécifique à notre intelligence humaine et est à l’origine de notre langage, notre capacité à compter ou encore à lire mais surtout à raisonner. Pourquoi celui du cheval ne s’est pas plus développé ? Tout simplement parce qu’il n’en a pas l’utilité. Le cerveau qu’il a répond à ses besoins de survie. Si le cheval n’est pas doté d’un néocortex très développé on peut bien comprendre qu’il n’a pas les mêmes capacités cognitives que nous et surtout une capacité de raisonnement avancée. Ce n’est pas pour autant qu’on est plus intelligent que le cheval. On comprendra donc qu'il est inutile de faire de demander au cheval d'avoir un raisonnement humain ca il en est bien incapable. 

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Un cheval qui a vécu un choc lors d’un transport dans un van, par exemple, garde le souvenir, et ne voudra pas monter dans le véhicule. Il ne met pas de mauvaise volonté, mais il associe l’objet ou la circonstance du moment présent,  à un souvenir désagréable,  et tente de le faire savoir à son propriétaire en se cabrant, en déviant, en pilant, etc… Ne disposant pas d'un néocortex développé il ne pourra pas rationaliser l'information et donc maitriser ses émotions. Il sera en boucle avec le souvenir du traumatisme qu'il associera avec ce qu'il vit dans le moment présent. 

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S’il a été séparé trop tôt de sa mère, par exemple, il peut souffrir d’une peur ou d’un sentiment d’abandon et sera enclin à paniquer rapidement, ou à demander plus d’attention de la part de son propriétaire. Il pourra également tiquer. Le tique est un trouble du comportement que le cheval développe lorsqu’il se trouve dans une situation d’angoisse, de stress, d’ennui ou suite à un choc. De plus, de nombreux chevaux développent le tique à l'appui car ils souffrent d'acidité gastrique causé par une alimentation inapproppriée. En tiquant, le cheval stimule la production de salive ce qui a un effet apaisant pour l'estomac. Un cheval souffrant de tique a besoin de manger beaucoup de fourrage car en mâchant le foin il produit beaucoup de salive ce qui limite l'acidité gastrique. Il est important de s’occuper rapidement du cheval lorsque ce trouble apparait, car une fois installé, cela devient une habitude, qui mettra du temps à disparaitre (le tique conduit à la production d'endorphine dont le cheval devient dépendant). 

 

Le cheval permettra à l’homme de retrouver son intégrité et l’homme lui apportera la réparation des blessures occasionnées par le contact avec l’humain. Le cheval étant intègre par nature, la majorité des dysfonctionnements viennent de l’homme ou parfois d’un accident  avec un congénère. Une fois les blessures émotionnelles guéries, le cheval sera plus enclin à travailler et pourra retrouver plus de légèreté et de souplesse dans ses mouvements.

 

Je guéris les blessures émotionnelles des chevaux après avoir communiqué avec eux. Ce travail ne remplace pas un traitement administré par un vétérinaire et le cheval doit continuer à prendre son traitement médical si tel est le cas. Ce travail peut se fait à distance sur une photo du cheval avec son nom, l’adresse de l’écurie et le nom du propriétaire. Je peux me déplacer dans toute l’Ile de France et si besoin en France ou à l’étranger  pour rencontrer les chevaux mais je peux également communiquer à distance sur photo.

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